À l’image de ce qui aura été à l’initiative de ce laboratoire, la méthode repose sur les bases du Design Thinking, une démarche historiquement issue du travail des designers, centrée sur les besoins de leurs clients.

Une phase de terrain, pour identifier les besoins réels des futurs bénéficiaires.
Réalisée auprès des usagers, en immersion, par des entretiens, des observations, elle permet de valider ou de réfuter les aprioris à la base du projet, et donne des idées pour la suite ! Les outils ne sont pas aussi importants que la posture dans cette phase, où les pré-requis principaux sont la curiosité et l’empathie.

Une phase de co-création, pour travailler ensemble à la définition des solutions les plus justes.
Entre ateliers de problématisation, de créativité, et de concrétisation, cette étape caractérise le moment où
les différents acteurs se mettent autour d’une même table et réfléchissent au projet. Le travail d’animation de ces temps de co-conception est important, et de nombreux outils permettent de transformer une réunion en un atelier productif et plaisant.

Une phase de conception, pour mettre en oeuvre les propositions retenues.
Une fois les bonnes réponses identifiés, il est temps de mettre la main à la pâte et de développer les éléments du dispositif imaginés. Il peut s’agir de choses très concrètes, de communication, de formation, de changements d’organisation, mais les aller-retours et l’utilisation de tests sont primordiaux. En finalité, la solution est déployée une fois qu’elle s’avère efficace, viable, durable.